Les conséquences de l’épidémie de coronavirus n’en finissent plus de nous surprendre. N’a-t-elle pas notamment contribué à faire entrer dans notre quotidien une pratique jusqu’alors plutôt exotique ?
Il s’agit, bien sûr, du télétravail. Cet usage est ancien, puisqu’il y a cinquante ans déjà quelques rares salariés travaillaient à distance grâce au fax et au téléphone. Sa montée en puissance à l’ère digitale a ensuite rencontré de nombreux freins, de nature essentiellement psychologique.
D’une part, les employés craignaient que leur vie professionnelle envahisse leur vie privée. Et d’autre part, les managers redoutaient de perdre tout contrôle sur l’activité de leurs salariés. Nous allons voir comment le télétravail a obligé l’accélération de la transformation digitale des entreprises.
Puis, la pandémie nous a contraints au confinement. Du jour au lendemain, il a fallu inventer une nouvelle façon de travailler, à distance les uns des autres. Près de 41 % des actifs ont alors expérimenté le télétravail, qui concerne encore aujourd’hui un tiers des salariés. Parmi eux, 45 % sont en télétravail total. Or, la satisfaction des uns et des autres est indéniable. Plus de sept salariés sur dix apprécient cette expérience, et 67 % des dirigeants s’y disent favorable pour leur entreprise.
Il semble bien que le coronavirus ait changé notre façon de percevoir le travail, en redéfinissant ses cadres. Le travail ne s’inscrit désormais plus dans un lieu et des horaires déterminés. Il s’adapte aux contraintes et à la vie privée de chacun. Et loin de provoquer une perte d’efficacité, le télétravail semble au contraire améliorer la productivité des salariés. Deux raisons peuvent expliquer cela. Cette pratique passe par une plus grande autonomie du salarié : il est ainsi responsabilisé et mieux impliqué dans ses résultats.
De plus, il est libre de choisir l’organisation qui lui semble la plus efficace. Par ailleurs, le télétravail entraîne une amélioration de la qualité de vie au travail, en supprimant notamment les contraintes de transport. Le stress des horaires, des grèves, des embouteillages laisse la place à des moments de détente, du temps pour soi ou pour la gestion du foyer. Retards et absences se trouvent considérablement réduits. Du point de vue de l’entreprise, le télétravail permet également de réaliser des économies substantielles : réduction de la taille des locaux, des frais fixes des frais de déplacement…
Les salariés, quant à eux, voient dans le télétravail de multiples avantages. Car si certains regrettent les interactions sociales que permet le travail sur site, la plupart reconnaissent jouir d’une meilleure qualité de vie. Ils peuvent mieux adapter leurs horaires à leurs contraintes familiales. Ils se sentent par ailleurs valorisés de travailler en autonomie, et réduisent également leurs frais divers.
Le télétravail n’est pas, bien sûr une solution miracle. Il ne convient pas à tous et implique de nombreux aménagements. Mais il reste une vraie chance pour une entreprise, lui permettant notamment de faire face à toutes sortes de situations. Car le télétravail, c’est la souplesse.
Mais les bénéfices du télétravail seraient-ils réservés aux entreprises les plus en pointe ? Car il implique de nouvelles pratiques, notamment dans deux domaines : le management et l’équipement numérique. En télétravail, les règles managériales sont en effet quelque peu différentes.
Le contrôle des salariés n’est plus physique. L’autonomie et la responsabilisation sont de mise. Le management par objectif est alors à privilégier. Pour certaines entreprises, cela demande un véritable effort de conversion de leurs pratiques managériales, alors que pour d’autres, ces règles sont déjà intégrées.
Les salariés vont, bien évidemment, apprendre les règles du télétravail grâce à des formations mises en place. Mais il est un domaine où les inégalités sont encore plus criantes, c’est celui de la digitalisation. Si certaines entreprises sont parfaitement équipées, en raison de leur domaine d’expertise ou à l’initiative de leurs dirigeants, d’autres sont encore à la traîne.
Or le télétravail implique un niveau de transformation digitale élevée et de multiples précautions. L’équipement, bien sûr, est la première des exigences. Les salariés en télétravail doivent disposer d’appareils dédiés, afin d’éviter qu’ils aient recours à leur propre matériel, moins sécurisé. Chacun doit également posséder une connexion sécurisée et de qualité. Enfin, les salariés doivent pouvoir, à tout moment, consulter l’ensemble des dossiers sur lesquels ils travaillent, qu’ils soient sur site ou en télétravail. C’est là la principale difficulté, car cela implique que l’entreprise mette en place une politique de numérisation et de partage de ses ressources. Et cela, bien sûr, sans compromettre sa sécurité professionnelle ! Cette digitalisation à marche forcée semble souvent insurmontable, notamment pour les TPE et les PME. Il existe pourtant des solutions tout compris d’une grande simplicité.
WeDrop est une solution complète idéale pour le travail collaboratif dans le cadre du télétravail. WeDrop permet de stocker, de sauvegarder et de partager des fichiers en ligne. Ainsi, vos salariés peuvent y accéder depuis n’importe quel lieu, grâce à l’application WeDrop.
Par ailleurs, ses nombreuses fonctionnalités permettent un suivi en temps réel, facilitant le travail collaboratif. Versions, modifications, commentaires, tout est historisé. La gestion de l’outil est d’ailleurs très simple, et permet à l’administrateur de l’adapter selon ses besoins.
Les droits de chacun sont définis en amont : accès, modifications ou simple consultation, vous maîtrisez parfaitement le traitement de vos documents. Un client, un collaborateur ou un chef de projet bénéficient chacun d’un périmètre bien défini. Enfin, vous pouvez personnaliser votre interface aux couleurs de votre société, afin que tous, clients comme collaborateurs, se sentent chez vous sur votre espace de partage. Et bien sûr, WeDrop garantit une sécurité optimale à vos données partagées.
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
cookielawinfo-checkbox-necessary | 11 mois | Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie «Nécessaire». |
viewed_cookie_policy | 11 mois | Le cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent et est utilisé pour stocker si l'utilisateur a consenti ou non à l'utilisation de cookies. Il ne stocke aucune donnée personnelle. |
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
cookielawinfo-checkbox-analytics | 11 mois | Le cookie est utilisé pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie "Analytics". |